Trêve d’effusions. Après avoir pleuré l’arrêt de Limite, il est l’heure de commander cet ultime opus.
Alors qu’est-ce qu’on trouve dans ce dernier numéro ? On aurait pu vous envoyer une grosse arnaque avec des textes flemmards, et puis non, on s’est creusé la tête, on a cherché le meilleur pour nos lecteurs, qui sont aussi les meilleurs. On termine avec du haut niveau.
Bilan de l’écologie intégrale, déjà ?
Effectivement, on ouvre nos différents dossiers avec une vingtaine de pages bilan. Cette partie baptisée pour l’occasion « Maison commune » regroupe différentes contributions. On y retrouve nos habituels collaborateurs, mais également des nouveautés comme cette habile confrontation entre une ancienne collaboratrice de François-Xavier Bellamy et un ancien collab de François Ruffin. Qui gagnera le match ? La réponse n’est écrite nulle part, chacun se fera son avis.
Notre testament politique: « devenez libertaires chrétiens »
Mais attendez, diront les lecteurs peu attentifs ( les mauvais élèves ont aussi leur place chez Limite), quand vous dîtes « libertaires », ça veut dire quoi, au juste ? Vous nous enjoignez à pratiquer le BDSM ( si vous ne savez pas ce que c’est, ne tapez pas ce mot dans votre barre de recherche) et à nous teindre les cheveux en rose ? Eh bien chez Limite, libertaires, ça veut dire « amoureux de la liberté », ça veut dire rechercher l’autonomie des humains contre celles des machines.
Comment lire ce numéro ?
En cliquant sur ce lien. C’est facile, et au passage, vous pouvez commander nos anciens numéros. Vous préférez passer par votre libraire ? C’est possible, à partir d’aujourd’hui 27 octobre, il doit l’avoir en rayon. Attention, ce numéro bénéficie d’un très court tirage. Si vous parvenez à en avoir un, gardez-le , c’est un conseil !
Bonne lecture !
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Ruffin, Bellamy, côte à côte, quel beau symbole ! Cette photo signifie plus que n’importe quel discours. Elle ne parle pas seulement à l’esprit ; elle nous atteint au plus intime, au coeur de notre humanité. Beaucoup de choses nous séparent, on n’est pas d’accord, on s’engueule à l’occasion, on ne livre pas les mêmes combats, MAIS nous sommes frères en humanité avant tout. Si cette fraternité est première en conscience, voulue et vécue, alors frères ennemis devient un oxymore.